Samedi 18 décembre 2021 :
Le père Fouettard s’est invité chez les Français : le vaccin sinon rien et Joyeux Noël tout le monde !
Au-delà des sempiternelles recommandations pour les fêtes de fin d’année (qui auront un goût amer tant elles s’annoncent aussi perturbées que l’an dernier), l’annonce dans la soirée d’hier de la feuille de route du gouvernement, qui entend présenter un projet de loi pour transformer le passe sanitaire en passe vaccinal dès les premiers jours de l’année 2022, a fait l’effet d’une bombe.
C’est la dernière marche avant la vaccination obligatoire.
Au diable les réalités médicales sur l’immunité naturelle contre le virus après avoir contracté la maladie ou bien la possibilité de présenter un test négatif… la folie vaccinale continue, de gré ou de force !
Si encore le vaccin était efficace et conférait une protection sans faille face à la double vague Delta et Omicron, on pourrait comprendre cette fuite en avant. Mais en l’occurrence, ce n’est pas le cas. Les dernières données publiées par la Direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques (DREES) mettent en évidence que la majorité des personnes hospitalisées actuellement sont vaccinées (ce qui, question de proportion, n’est pas anormal puisque 90% des Français sont vaccinés mais ce qui prouve aussi que les vaccinés peuvent, non seulement transmettre le virus, mais aussi développer des formes graves lorsqu’ils sont infectés).
Dès lors, un certificat de vaccination ne pourra jamais apporter une garantie sanitaire totale !
Et que l’on ne vienne pas se cacher derrière la circulation de faux passes sanitaires pour justifier ce nouveau tour de vis. Ces tricheurs sont une minorité.
Ces nouvelles mesures parachèvent le discours présidentiel du 12 juillet dernier (lire communiqué UPF, 13/07/21), en dévoilant la réalité de la supercherie.
En se transformant en pass vaccinal, cet instrument “provisoire” va devenir la porte ouverte à un contrôle dépassant le cadre de cette épidémie qui imposera d’accepter toutes les doses de rappel à venir. Jusqu’à quand ?
A partir de janvier, il y aura bien en France deux catégories de citoyens, avec des restrictions pesant sur certains plutôt que sur tous alors que par principe, il ne peut pas y avoir de contrôle de l’état de santé à l’entrée de lieux de vie collective.
Le contrat social unissant les français était fragilisé. Il est désormais rompu.